actualité
Depuis quelque temps, on nous annonce qu’il risque d’y avoir des coupures d’électricité à partir du mois de janvier.
Pour produire de l’électricité, nous n’avons pas assez de gaz parce la Russie ne veut plus nous en vendre à cause de notre soutien à l’Ukraine. De plus, la moitié de nos centrales nucléaires sont fermées pour révision. Or, en hiver, on dépense plus d’électricité pour se chauffer et s’éclairer.

On se demande donc comment on va faire si on nous impose ces restrictions. Une ville sans électricité ça donne quoi ? Sans feux tricolores, sans lampadaires pour nous éclairer la nuit (car en hiver il fait nuit tôt) ? Comment les gens vont-ils faire pour la wifi et recharger leurs téléphones ? Et sans électricité, pas de métros non plus, on ne pourra pas aller au travail !
Au collège, en cas de coupure on n’aura pas cours la matinée nous dit-on. Mais s’il n’y a pas de chauffage le matin, les salles n’auront pas le temps de se réchauffer pour l’après-midi ! A la cantine, mangera-t-on de la nourriture froide et pas cuite ? Et comment nos parents seront-ils au courant de la fermeture des écoles ?
Il y aura bien sûr des exceptions : les coupures ne devraient pas avoir lieu dans les services de soins, les commissariats ou encore les casernes de pompiers. Les personnes qui ont la chance d’habiter à proximité de ces infrastructures auront peut-être la chance d’avoir un accès normal à l’électricité !
Dounia